Un projet d’arrêté visant à modifier l’arrêté du 21 février 2024 fixant les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant le loup (Canis lupus) est actuellement en consultation jusqu’au 17 janvier 2025.
Depuis le 1er janvier 2025, le dépôt de la demande d'aide bovine est ouvert. Nouveauté pour cette année, les vaches de réformes sont désormais éligibles sous certaines conditions.
Suite au courrier envoyé par les présidents de JA et FDSEA 71 aux députés qui ont voté pour la motion de censure, les premiers rendez-vous ont été fixés avec ces derniers pour qu'ils s'expliquent sur leurs motivations pour ce vote qui met à mal un projet de loi travaillé de longue date par la profession agricole ! “Vous nous devez un budget ! ». Ainsi ont été interpellés les députés par la FDSEA et des JA.
Des rencontres avec les députés Eric Michoux et Aurélien Dutremble se sont tenues respectivement le jeudi 12 décembre à Baudrières et le samedi 14 décembre à La Comelle.
La Présidente de la Commission européenne vient de trahir les éleveurs, agriculteurs, citoyens et consommateurs européens.Faisant fi des impacts désastreux attendus sur l’agriculture, et notamment l’élevage bovin, elle vient d’annoncer la conclusion de l’accord de libre-échange entre l’Union Européenne et le Mercosur.Cette validation doit d’ores et déjà être considérée comme illégitime. En effet conformément aux conclusions de la réunion du Conseil européen du 22 mai 2018 : l’accord avec le Mercosur est un accord mixte qui doit donc être soumis à l’approbation à l’unanimité des États membres au Conseil, puis à celle du Parlement européen et enfin à celle des Parlements nationaux.Comment la Présidente de la Commission Européenne, qui n’ignore pas l’opposition de plusieurs Etats membres, peut valider un tel accord, en trahissant le mandat qui lui avait été donné.Ce passage en force, contre les éleveurs, contre les consommateurs, contre les citoyens, ignorant les prises de positions françaises unanimes du Chef de l’Etat, du Gouvernement et des deux chambres parlementaires, doit être condamné et combattu !Jamais les éleveurs, ni les consommateurs européens, ne se résoudront à laisser leur production être remplacée par des imports de viandes produites dans des conditions illégales en Europe.Pour Patrick BENEZIT, Président de la Fédération Nationale Bovine : « Sans plus attendre, Emmanuel Macron doit déclarer son opposition à cet accord en exerçant son droit de véto, et en le notifiant immédiatement à Bruxelles !Cette opposition doit être celle du Président de la République, fort de l’unanimité des parlementaires français qui ont voté avec détermination, et de celle des éleveurs français,pour la protection de l’agriculture et des consommateurs français et européens. »
La DDT a tenu le 26 novembre dernier son comité de suivi des dossiers FEADER repris en instruction dans ses services suite aux difficultés de traitement de ces dossiers par le Conseil régional.
120 dossiers devraient très prochainement redescendre de nouveau à la DDT. Nouveauté : un agent du Conseil régional participe dorénavant à ce comité pour effectuer un retour sur les dossiers dont il assure la compétence.
La FNB - CGB - CFA - AGPM - FNSEA – JA alertent sur une éventuelle signature du traité Mercosur, dans un communiquer de presse commun : « L’accord avec le Mercosur ne doit pas être ratifié ! ».
Le comité départemental d'expertise piloté par les services de la DDT s'est réuni le 16 septembre pour échanger et valider les taux de dégrèvements suites aux différents aléas climatiques de cette année 2024.
En négociation depuis une vingtaine d’années, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur revient sur le devant de la scène avec la reprise des discussions au Brésil qui s’est déroulée début septembre. La Commission voudrait aboutir à un accord définitif avant 2025.